Category Archive Actu

ByChronica

Brice Depasse nous fait revivre les années 80

Avec ses Story sur les plus grandes stars de la musique et sur la pop culture, il passionne quotidiennement des centaines de miliers d’auditeurs sur Nostalgie Belgique. A présent, Brice Depasse a choisi Chronica pour raconter de nouvelles belles histoires. Et pas n’importe lesquelles : les plus belles stories des années 80.

Un livre de la Story de Brice Depasse dédié aux années 80, c’est bien plus que le Live Aid vécu dans la peau de Phil Collins, le triomphe de la génération new wave ou encore une soirée sur le plateau enfumé de Droit de réponse avec Coluche ou Serge Gainsbourg.

Nos années 80 est une immersion totale dans le quotidien d’un gars bien de chez nous qui fêtait ses 18 ans en 1980. Comment le conteur de Nostalgie a-t-il vécu ces années 80 considérées aujourd’hui comme une période bénie ?

Suivez-le ! Le voyage (dans le temps mais aussi dans l’espace), écrit dans un style qui préserve sa voix particulière, vaut son pesant d’histoires, de souvenirs et de confessions.

Le livre sortira fin octobre 2023 dans toutes les bonnes librairies. Mais vous pouvez d’ores et déjà vous assurer de l’avoir avant tout le monde en version dédicacée en le commandant aujourd’hui sur notre boutique online. En plus vous ne payez que 1 euros de frais de port.

N’attendez pas !

ByChronica

Anthony Moris (USG) choisit Chronica !

Le gardien de but de l’Union saint-gilloise et de l’équipe nationale du Luxembourg raconte son incroyable épopée avant d’arriver dans le sommet du foot au Luxembourg et en Belgique. Pour cela, Anthony Moris a choisi les éditions Chronica qui se chargera de sortir son livre à la fin du mois d’octobre 2023. Son titre ? “Le gardien de mes rêves”, un titre évocateur qui fait à la fois référence au rêve de gosse d’Anthony de devenir le gardien qu’il est aujourd’hui… et au fait qu’il ne tient qu’à chacun de nous de poursuivre ses rêves. Et qu’on est bien les gardiens de nos rêves.

« Il faut toujours croire en ses rêves ». Il lui aura fallu surmonter bien des épreuves avant d’occuper la place de gardien de but de l’équipe nationale du Luxembourg et de l’Union Saint-Gilloise en Belgique. Le chômage pendant quatre mois après avoir rompu son contrat au Standard de Liège, deux ruptures de ligaments croisés aux genoux sans oublier un retour à l’échelon amateur avec Virton.

Le parcours d’Anthony Moris n’a rien d’un long fleuve tranquille. « Croire en ses rêves », Anthony l’a toujours fait, depuis qu’il jouait dans son jardin avec ses deux frères plus âgés qui l’avaient subtilement placé dans le but familial à Habay-la-Neuve. Très vite, ses prédispositions à un poste que peu de jeunes joueurs en herbe se disputent à occuper le font repérer par le Standard de Liège. Commencent alors les périples en voiture avec son papa pour assouvir une passion de plus en plus dévorante le portant entre Habay et Liège, avant d’intégrer un pensionnat dans la Cité ardente pour poursuivre ses études en humanités plus proche du matricule 16. Anthony Moris se voit un jour évoluer, dans ce stade Maurice Dufrasne, à un poste occupé par le passé par des gardiens de but aussi emblématiques et légendaires que Jean Nicolay, Christian Piot, Michel Preud’homme ou encore Gilbert Bodart. Au terme d’une formation adéquate, il y parviendra, mais le Gaumais se rendra très vite compte que le talent ne suffit pas toujours pour percer. Par conséquent, entre le moment où il casse son contrat voyant que son avenir à Sclessin était bouché et les feux de la rampe braqués sur lui depuis son arrivée à l’Union Saint-Gilloise, Anthony Moris en a surmonté, des embûches avec une force de caractère, bien ardennaise.  Au sommet en Pro League aujourd’hui chez les Jaune et Bleu à Bruxelles et épanoui avec l’équipe nationale du Luxembourg, Anthony Moris vit pleinement ses rêves, qu’il a toujours gardés à l’esprit et dans son horizon. Parce qu’il a toujours cru qu’ils deviendraient un jour réalité…

L’ouvrage sortira en Belgique et au Luxembourg avec des couvertures différentes à la fin du mois d’octobre. Le livre est soutenu par Hey!, par la Fédération nationale de football au Luxembourg et La Loterie Nationale luxembourgeoise.

Il vous est d’ores et déjà possible de précommander l’ouvrage pour être les premiers à le recevoir. Et ce n’est pas tout : toutes les précommandes seront signées de la main d’Anthony ! Précommandez dès maintenant le livre.

ByChronica

Chronica vous offre un maillot dédicacé par Axel Witsel !

! Alerte concours !

En partenariat avec Axel Witsel et notre auteur David De Myttenaere, Chronica vous offre la possibilité de remporter un maillot (rouge et blanc…) de l’Atletico Madrid, floqué au nom de Witsel et dédicacé par l’ex-Diable Rouge !

Ce concours est organisé à l’occasion de la sortie de la version néerlandophone de « Rouche toujours ! », le livre officiel des 125 ans du Standard de Liège. Dans cet ouvrage de 188 pages qui existe aussi bien sûr en français, Axel Witsel raconte ses souvenirs rouches en tant que Légende du Matricule 16.

Pour participer au tirage au sort, qui aura lieu le 30 septembre, vous devez :

Attention : le maillot doit pouvoir être livré en Belgique exclusivement.

>>   Si vous n’avez encore votre exemplaire de ce magnifique ouvrage « Rouche toujours ! », vous pouvez vous le procurer en cliquant sur ce lien !   (livraison rapide !)

Bonne chance !

ByChronica

“Les flamboyants bleus” de Wendy Nazaré : sortie ce 2 juin !

Plus qu’une fois dormir avant de pouvoir obtenir le livre “Les flamboyants bleus” de la chanteuse Wendy Nazaré que les Editions Chronica éditent en ce beau mois de juin. Cet ouvrage est une jolie pépite dont nous sommes très fiers. Grâce à ce livre plein d’émotion et de voyages, la chanteuse d’origine verviétoise remonte dans le temps à la recherche de ses racines et recompose une histoire de famille pleine de rebondissements, de mystères et de sentiments.

En voici le pitch.
“Le jour de la photo de classe, sachant que le cliché serait envoyé à ses parents, Xavier choisit les vêtements avec lesquels il était arrivé à la rentrée. Il enfila sa chemise blanche, son pull en pointe et attacha fièrement le nœud papillon que sa mère lui avait offert. Tout le distinguait du groupe, jusqu’à la couleur de sa peau, cela lui sauta aux yeux. Depuis tout petit, il se sentait souvent en décalage avec les autres, sans vraiment comprendre pourquoi.” Près d’un demi-siècle plus tard, aux funérailles d’un vieil homme dans la région de Lisbonne, cinq K7 ont été remises à Wendy Nazaré. Espoirs, déroutes, erreurs et rencontres… Ces petites bandes analogiques dévoilent des secrets de famille…

Ce livre sera disponible à partir de ce 2 juin dans l’ensemble des bonnes librairies, dans les magasins Club et chez Fnac notamment. Vous pouvez aussi vous le faire livrer, chez vous, en cliquant sur ce lien.  (Seulement 1€ de frais de port!)

ByChronica

Small Bands : une nouvelle BD chez Chronica

L’écurie Chronica s’agrandit ! Nous avons, récemment, signé le contrat d’édition du projet “Small Bands” du dessinateur Nicolas De Wolf qui sortira sa toute première BD !!!

Le projet de cette bande dessinée humoristique, appelée “Small Bands” a pour but de partager des vraies histoires de petits groupes de musique locaux de tous styles. Le concept : faire découvrir aux lecteurs, via des courtes anecdotes de quelques planches, l’univers parfois merveilleux et parfois désespérant des petits groupes de musique. Le tout tourné avec humour mais en respectant l’authenticité des faits Chaque planche est ponctuée d’un QR code qui permet aux lecteurs de découvrir plus en détail l’anecdote et le groupe via le site de Small Bands.

Nicolas détaille la genèse de ce beau projet : “Étant moi-même dans un petit groupe de musique depuis au moins 10 ans maintenant, et pour avoir déjà vécu le meilleur et le pire, j’avais déjà une belle liste d’anecdotes à raconter mais pas suffisamment pour en faire toute une
bande dessinée. C’est alors… après réflexion intense, que je me suis dit que si notre groupe avait déjà vécu toutes ces péripéties, on ne devait sûrement pas être les seuls. J’ai donc décidé de mettre ma casquette de reporter en demandant aux groupe que je voyais en concerts, que je découvrais sur Spotify, à la radio, sur les réseaux sociaux, bref, un peu partout, si eux aussi avaient des anecdotes à raconter. Que
ce soit en concert, en répétition, en tournée,… Et bien oui, des choses à raconter, ils en ont! Et ils se font un plaisir de me les partager.”

La BD devrait sortir sous le label Chronica au début de l’année 2024. D’ici là, nous lancerons, avec Nicolas, une campagne de crowdfunding afin d’assurer cette sortie dans les meilleures conditions.

D’ici là, vous pouvez suivre l’évolution du projet via le site Web de Small Bands et ses réseaux sociaux :
> Facebook
> Instagram
> YouTube

ByChronica

Exclusif : rencontrez Simon Tahamata et faites dédicacer “Rouche toujours!”

Exclusif ! Rencontrez Simon Tahamata à Bruxelles à l’occasion d’un événement organisé le 2 avril par les Editions Chronica et le restaurant “Le Mounier”.
Le légendaire ailier des Rouches, véritable coqueluche de Sclessin dans les années 80 (et encore aujourd’hui…), sera exceptionnellement présent à Bruxelles pour rencontrer les supporters et signer des exemplaires de “Rouche Toujours!”, le livre officiel des 125 ans du Standard, coécrit par David De Myttenaere et Michel Dubois et édité par Chronica.

Quand ? Le 2 avril 2023 de 10h à 12h
Où ? Restaurant “Le Mounier” (87 avenue E. Mounier, 1200 Woluwe-Saint-Lambert)

Comment faire ?
Le nombre de places étant limité, nous demandons à chacun de commander son ouvrage à l’avance. Votre exemplaire vous sera remis à l’entrée et vous pourrez le faire signer par Simon Tahamata. Vous recevrez également un bon pour une boisson gratuite.
Nous aurons la liste des personnes inscrites à l’entrée du restaurant “Le Mounier”. Réservez votre livre et la rencontre ici

Vous n’avez pas l’occasion d’être présent ? Pas de souci, vous pouvez quand même bénéficier d’une dédicace par Simon Tahamata. Pour cela, il vous suffit de commander un livre sur ce lien-ci. Nous le ferons dédicacer pour vous et vous l’enverrons directement chez vous quelques jours après l’événement. Attention : indiquez en commentaire de la commande le PRENOM auquel le livre doit être signé !

 

Des questions ? editions.chronica@gmail.com

ByChronica

Chronica éditeur officiel des 125 ans du Standard de Liège !

Nous sommes très fiers de vous annoncer que les Editions Chronica ont été choisies par le Standard de Liège pour la réalisation du livre officiel de ses 125 ans.

A l’occasion de cet anniversaire historique, les Editions Chronica, le Standard de Liège et le duo d’auteurs David De Myttenaere et Michel Dubois se sont associés pour sortir “Rouche toujours!”. Un livre exceptionnel de 188 pages replonge les supporters dans l’histoire des Rouches à travers les actes et les décisions des différents hommes forts du club, de Joseph Debatty, le tout premier président, à Josh Wander et Steven W. Pasko, co-fondateurs et actionnaires de 777 Partners, société américaine propriétaire du club en cette année anniversaire.

Les auteurs sont aussi partis à la rencontre des plus grandes légendes rouches pour une série de témoignages exclusifs et richement illustrés: Paul Bonga-Bonga, Marouane Fellaini, Fery Ferraguzzi, Eric Gerets, Guy Hellers, Christian Piot, Michel Preud’homme, Léon Semmeling, Simon Tahamata, Guy Vandersmissen, Marc Wilmots et Axel Witsel. Tous nous replongent dans leurs souvenirs du Standard et partagent leurs anecdotes croustillantes et inédites. Les auteurs dressent, aussi, des portraits de nos légendes disparues comme Roger Claessen, Jean Nicolay ou Wilfried Van Moer…

Fait rare : l’ouvrage contient également une interview de Josh Wander au nom du nouveau propriétaire du club, 777 Partners.

Sans oublier une rétrospective illustrée de l’ensemble des maillots et les statistiques des années où le Standard a gagné un titre ou une coupe.

Cette “Bible du Standard” sera, à n’en pas douter, un ouvrage incontournable pour tous les fans du Standard et le cadeau parfait à l’approche des fêtes de fin d’année !

Disponibles dès à présent au Fanshop du Standard, sur Chronica-Shop et dans toutes les bonnes librairies


PHOTOS A TELECHARGER

ByChronica

Premier roman : “L’aîné et la montre en or”

C’est une double première. Mi-novembre, Chronica sortira le premier roman de son catalogue. Intitulé “L’aîné et la montre en or”, il s’agit aussi du premier roman de son auteur, Philippe Soreil, figure médiatique bien connue.

Combinant intrigue moderne, drame psychologique et relations amoureuses tourmentées, ce premier roman racon te l’histoire d’un jeune homme détruit qui se reconstruit en mieux. Un homme, tombé au plus bas de lui-même, se reconstruit et invente une théorie, convoitéepar de grandes puissances mondiales…Une approche originale et prenante qui a déjà séduit quelques premiers lecteurs. Notamment Boris Cyrulnik, Médecin neuropsychiatre, auteur à succès et personnalité médiatique qui a commenté sa lecture en ces mots : « C’est bien écrit, agréable à lire avec des idées et des enchaînements intéressants ».

L’ouvrage, rédigé par Philippe Soreil, a été inspiré par son ami Philippe Kriwin.

Le pitch :

Franco est irrésistiblement craquant. Fils d’immigrés siciliens il se fait appeler Frank. Comme Frank Sinatra. Il veut chanter. Comme lui. Fasciné par les feux de la rampe, obsédé par les projecteurs sur ses premières gloires, il dévore la vie sans la comprendre.

Sa quête obsessionnelle vers la lumière va l’aveugler. Enchainant les accidents, il se fracasse sur ses excès. Diminué, la rage au corps, il se relève. Chaque fois. Mais sa fureur de vivre l’amènera au bord d’un gouffre dans lequel il finira par tomber !  Disloqué physiquement, détruit moralement, décharné, démoli de toutes parts, il repousse les portes de l’enfer. Les psys tentent de l’aider pour atténuer ses souffrances. Mais Frank ne veux rien entendre. Il remontera seul à la surface de sa vie. Il va réinventer ses mécanismes vitaux et se fabriquer les clés d’une nouvelle existence. En décodant ses propres mystères, physiologiques et psychologiques, il met au point une théorie très surprenante, sur le rapport à l’autre. Lors d’un congrès mondial où il est invite à témoigner, il rencontre Boris, un psy différent des autres, qui deviendra son confident, sa référence, sa « rassurance ». D’introspections en illuminations, d’obstinations en convictions, il va se révéler à lui-même. Détenant désormais les secrets de sa « Montre en Or », de sa propre invention, Frank va être pris en chasse par des puissances insidieuses et se retrouver convoité, projeté dans un monde d’intrigues, avec, au centre de tout, une femme. Irrésistible. Dévorante …

Le roman de 384 pages sera disponible dans toutes les librairies dès la mi-novembre.

Mais vous pouvez d’ores et déjà soutenir sa sortie en le précommandant sur notre shop en ligne. Vous le recevrez dédicacé par Philippe Soreil avant tout le monde ! Cliquez ici

Philippe Soreil. Philippe Soreil a été successivement journaliste, producteur-présentateur d’émissions et de magazines, réalisateur de films documentaires de long-métrage, avant de s’embarquer, entouré de caméras, dans des aventures qui l’ont mené sur les cinq continents à la rencontre de la nature, de la culture, des animaux et des hommes. L’AîNé et la montre en or est son premier roman.

Philippe Kriwin. Licencié en sciences économiques, Philippe Kriwin a grandi à Bruxelles. Sa vie professionnelle l’a amené à New York puis à Paris où il a vécu des expériences Enrichissantes.  Il a été amené à élaborer plusieurs théories qui expliquent sa vision du monde. Son ressenti a largement inspiré ce récit.

ByChronica

Chronica lance la collection “Un Futur Simple”…

Jusqu’ici essentiellement concentrés sur des ouvrages en lien avec le sport ou la musique, nous sommes heureux de vous dévoiler une nouvelle collection. Son nom ? “Un Futur Simple”. Elle a pour vocation de décrypter, via des ouvrages pratiques ou des thèmes spécifiques, les grandes tendances du moment liées au numérique et aux évolutions technologiques.

Via des ouvrages qualitatifs et modernes, “Un Futur Simple” s’adresse à un public curieux, désireux de mieux comprendre les enjeux de demain et les évolutions du monde sous l’impulsion des nouvelles technologies du digital.

Le premier ouvrage de cette collection est écrit par François Remy, journaliste économique (Trends-Tendances, Les affaires, Numerama…): “Comment les banques kidnappent le bitcoin“. Sortie le 15 Octobre dans toutes les bonnes librairies. Mais déjà en précommande.

 

Voici le pitch du livre “Comment les banques kidnappent le bitcoin

Les banques, même celles les plus virulentes à l’égard de la monnaie numérique par le passé, expérimentent ainsi des produits et services crypto. Et cela, tout en profitant de l’oreille attentive des gendarmes financiers pour leur inspirer des règles favorables au secteur bancaire.

Il faut dire qu’à cause du scepticisme des banquiers et économistes classiques, le système financier a accumulé un lourd retard face à l’innovation du bitcoin. Cet ingénieux concentré de 40 ans de recherches en réseautique et cryptographie a posé les bases d’un monde alternatif de la finance. Sans autorité centrale, sans intermédiaire,… Autrement dit, sans les banques.  La création du bitcoin a donné l’impulsion à une nouvelle industrie mondiale, un nouvel écosystème sans frontière physique, un nouvel univers de la finance décentralisée. Particuliers, entreprises et maintenant même gouvernements (le Salvador étant devenu le premier pays à promouvoir le bitcoin comme monnaie légale à part entière) semblent de plus en plus rallier la cause crypto.

Le système bancaire, pilier des Etats et des économies, ne peut décemment pas se laisser contourner par les flux financiers en monnaies numériques. À chaque évolution ou choc des marchés, les banques sont finalement parvenues à faire de l’argent. Leur grand remplacement inspiré par la blockchain bitcoin n’aura donc pas lieu. Au contraire, treize ans après son invention, le protocole informatique open source de la première cryptomonnaie fonctionnelle de l’histoire a intégré l’esprit des banquiers et s’implémente discrètement dans les canaux de l’industrie bancaire. Certainement pas de façon aussi assumée que pour des technologies moins subversives telles que les apps, les chatbots ou les objets connectés. Pourtant, nous assistons bien au kidnapping du bitcoin par les banques. Il suffit d’observer les concepts émergents de blockchainisation des procédés, tokenisation des produits et cryptoisation des services bancaires. La profondeur de cette transformation digitale reste imprécise pour l’heure, mais la banque préfère évidemment garder les clients dans un environnement qu’elle contrôle plutôt que de les abandonner dans une nouvelle jungle fintech dévoilée par le bitcoin…

Précommandez le livre maintenant

ByChronica

Londres 1968 : plongée dans le making of avec Brice et Aurélien

Quatre mois après sa sortie et sa promo animée et bien remplie, nous avons décidé de vous proposer un petit flash-back sur la genèse de la BD « Londres 1968 ». Pour cela, quoi de mieux que de donner la parole aux auteurs ? Nous avons interrogé Aurélien Baudinat et Brice Depasse sur la genèse de cette première BD « La Story Nostalgie ». Ils nous plongent dans les coulisses du projet…

Comment un dessinateur français rencontre et commence à travailler avec un animateur radio belge ?
Aurélien :
Un jour, une amie commune sur Facebook m’a relayé une annonce de Brice cherchant un dessinateur pour un projet. Je lui ai écrit, il a regardé et apprécié mon travail, et nous nous sommes entendus. Grâce à lui, j’ai d’abord travaillé pour Nostalgie qui cherchait également un illustrateur puis nous avons travaillé sur le livre à distance, moi étant en France et lui en Belgique. Nous nous sommes vus pour la première fois en vrai lors du lancement de notre livre…

Pourquoi vous êtes-vous lancé dans une BD sur l’histoire de Dan Lacksman ?
Brice : L’idée de la série est à la fois de montrer une ville à un moment déterminant de l’histoire de notre Pop Culture mais aussi de prendre un héros anonyme dont le destin est bouleversé par une des grandes figures de la musique. Il était donc tentant de prendre comme premier personnage principal, le Dan Lacksman de 18 ans qui part à la rencontre des Beatles, en vrai, en 1968. Une histoire qu’il m’avait racontée et que j’avais transformée en nouvelle il y a quelques années.

Le projet de base n’était pourtant pas d’évoquer une ville à une période bien précise. Comment en êtes-vous arrivé à “Londres 1968” ?
Aurélien : Initialement, nous devions nous concentrer sur un épisode phare et déclencheur d’un futur succès d’un artiste… et pour ne pas avoir de problème de droits et pour fédérer notre lectorat avec plus de références, nous avons finalement choisi une ville, une année. Plus rassembleur et finalement plus pop.

Brice : Oui, le projet initial était une série thématique sans titre générique si ce n’est une série de prénoms, ceux de légendes de la musique dont nous devions raconter la jeunesse. Le premier tome devait s’intituler Freddie ; la couverture et les premières pages étaient déjà réalisées quand des doutes ont été soulevés sur le risque d’une procédure par les héritiers de Freddie Mercury. Ce fut l’occasion de repenser la série vers quelque chose de plus proche de l’esprit de La Story.

Au final, Londres 1968 ne parle pas directement des Beatles. Pourquoi ce parti-pris ?
Brice :
Parce qu’il s’agit surtout de raconter l’impact que ces musiciens ont eu sur les jeunes de l’époque. Nous aimons beaucoup faire revivre les époques, montrer comment cela se passait. Et puis c’est très marrant de faire débuter l’histoire à Bruxelles, une des rares capitales où les Beatles n’ont jamais joué.

Aurélien : Et puis on voulait avant tout raconter l’émergence et le foisonnement créatif d’un lieu, d’une ville en l’occurrence, à une période précise. Pour montrer que beaucoup d’artistes se trouvaient au même endroit au même moment avant d’émerger…

Pourquoi avoir choisi de travailler avec Chronica, un jeune studio d’édition et pas une grande maison classique ?
Brice : parce que c’est un éditeur qui n’arrête pas de travailler une fois le livre arrivé en librairie. Le marketing et les relations publiques c’est au moins aussi important que la réalisation du livre si on veut qu’il rencontre son public.

Aurélien : Pour sa confiance et sa foi à concevoir sans barrière quelque chose de nouveau, en cassant les codes, et pour le dynamisme et la sympathie de son dirigeant.

En quoi le livre “Londres 1968” casse-t-il les codes classiques de la BD selon vous ?
Aurélien : De part ses influences à la fois des comics américains, de la BD franco-belge et du roman graphique.

Brice : C’est la Bande Dessinée d’un conteur radiophonique. C’est Aurélien qui a voulu qu’on entende ma voix. Alors on a mêlé les deux narrations mais sans approche systématique, privilégiant les grandes cases graphiques quand elles le nécessitaient (le cadre psychédélique de la période évoquée le valait bien).

Aurélien, les dessins mélangent à la fois des décors et des personnages très réalistes et des portraits un peu plus naïfs. Pourquoi ce choix ?
Aurélien : Pour rendre plus réaliste ce qui parait inatteignable, plus encore aujourd’hui, à savoir approcher facilement une star, et aussi pour rendre plus enfantin, plus naïf  et rêveur le groupe de fans. C’est un parti pris. Je garde aussi une préférence pour la partie plus illustrative mariée aux textes et montage photo. Je vois les dessins narratifs plus comme des notes aussi.

Quels ont été les difficultés d’un projet comme celui-là ?
Brice : Que tout soit authentique. Même s’il y a des éléments de fiction, le corps de l’histoire est vrai. Il fallait donc que tout ce qui y est montré soit raccord avec la réalité de l’époque : la technologie, l’état des bâtiments, les tenues vestimentaires, la chronologie des films à l’affiche et des disques parus. Cela n’a pas empêché Aurélien de donner les traits de gens que nous fréquentons tous les jours aux personnages secondaires ou de fiction.

Aurélien : Pour moi, je dirais, principalement, le démarrage, ce qui est normal, notamment concernant la recherche et la trouvaille du concept. Puis je dirais aussi le timing pour remettre le livre à l’imprimeur, une fois les choses enclenchées avec les différents partenaires, le livre ayant été réalisé (du dessin à la mise en page complète par l’auteur), en un temps record. Un beau challenge pour nous.

Au fond, quel public ce type d’ouvrage cible-t-il ? Les fans des Beatles ? Ceux de Dan Lacksman ?
Brice : Je pense qu’il ne faut pas être un fan des sixties, des Beatles ou de Telex pour apprécier cette BD dont l’histoire est universelle. Que se passe-t-il quand un jeune fan rencontre ses idoles. Garde-t-il de l’or sur les doigts ? Est-il déçu ? Sa vie est-elle transformée ? Et le fait qu’il s’agisse d’un personnage au départ timide qui ose faire ce que personne n’oserait est une belle leçon de vie. Et puis il y a aussi la ville de Londres parmi les personnages, tellement habitée, si bouillonnante de vie, de liberté et de musique.

Aurélien : À mon sens, les fans d’histoires et d’anecdotes nostalgiques avant tout. Tout le monde ne connait pas Dan Lacksman. C’est un fil conducteur qui sert aussi la conclusion de notre histoire, très bien définie par Brice : il faut avant tout toujours croire en ses rêves.

Londres 1968 est disponible en version classique dans toutes les librairies, sur chronica-shop ou sur Amazon. Et en édition limitée à 250 exemplaires sur Chronica-shop.