L’écurie Chronica s’agrandit ! Nous avons, récemment, signé le contrat d’édition du projet “Small Bands” du dessinateur Nicolas De Wolf qui sortira sa toute première BD !!!
Le projet de cette bande dessinée humoristique, appelée “Small Bands” a pour but de partager des vraies histoires de petits groupes de musique locaux de tous styles. Le concept : faire découvrir aux lecteurs, via des courtes anecdotes de quelques planches, l’univers parfois merveilleux et parfois désespérant des petits groupes de musique. Le tout tourné avec humour mais en respectant l’authenticité des faits Chaque planche est ponctuée d’un QR code qui permet aux lecteurs de découvrir plus en détail l’anecdote et le groupe via le site de Small Bands.
Nicolas détaille la genèse de ce beau projet : “Étant moi-même dans un petit groupe de musique depuis au moins 10 ans maintenant, et pour avoir déjà vécu le meilleur et le pire, j’avais déjà une belle liste d’anecdotes à raconter mais pas suffisamment pour en faire toute une
bande dessinée. C’est alors… après réflexion intense, que je me suis dit que si notre groupe avait déjà vécu toutes ces péripéties, on ne devait sûrement pas être les seuls. J’ai donc décidé de mettre ma casquette de reporter en demandant aux groupe que je voyais en concerts, que je découvrais sur Spotify, à la radio, sur les réseaux sociaux, bref, un peu partout, si eux aussi avaient des anecdotes à raconter. Que
ce soit en concert, en répétition, en tournée,… Et bien oui, des choses à raconter, ils en ont! Et ils se font un plaisir de me les partager.”
La BD devrait sortir sous le label Chronica au début de l’année 2024. D’ici là, nous lancerons, avec Nicolas, une campagne de crowdfunding afin d’assurer cette sortie dans les meilleures conditions.
D’ici là, vous pouvez suivre l’évolution du projet via le site Web de Small Bands et ses réseaux sociaux :
> Facebook
> Instagram
> YouTube
Des questions ? editions.chronica@gmail.com
Nous sommes très fiers de vous annoncer que les Editions Chronica ont été choisies par le Standard de Liège pour la réalisation du livre officiel de ses 125 ans.
A l’occasion de cet anniversaire historique, les Editions Chronica, le Standard de Liège et le duo d’auteurs David De Myttenaere et Michel Dubois se sont associés pour sortir “Rouche toujours!”. Un livre exceptionnel de 188 pages replonge les supporters dans l’histoire des Rouches à travers les actes et les décisions des différents hommes forts du club, de Joseph Debatty, le tout premier président, à Josh Wander et Steven W. Pasko, co-fondateurs et actionnaires de 777 Partners, société américaine propriétaire du club en cette année anniversaire.
Les auteurs sont aussi partis à la rencontre des plus grandes légendes rouches pour une série de témoignages exclusifs et richement illustrés: Paul Bonga-Bonga, Marouane Fellaini, Fery Ferraguzzi, Eric Gerets, Guy Hellers, Christian Piot, Michel Preud’homme, Léon Semmeling, Simon Tahamata, Guy Vandersmissen, Marc Wilmots et Axel Witsel. Tous nous replongent dans leurs souvenirs du Standard et partagent leurs anecdotes croustillantes et inédites. Les auteurs dressent, aussi, des portraits de nos légendes disparues comme Roger Claessen, Jean Nicolay ou Wilfried Van Moer…
Fait rare : l’ouvrage contient également une interview de Josh Wander au nom du nouveau propriétaire du club, 777 Partners.
Sans oublier une rétrospective illustrée de l’ensemble des maillots et les statistiques des années où le Standard a gagné un titre ou une coupe.
Cette “Bible du Standard” sera, à n’en pas douter, un ouvrage incontournable pour tous les fans du Standard et le cadeau parfait à l’approche des fêtes de fin d’année !
Disponibles dès à présent au Fanshop du Standard, sur Chronica-Shop et dans toutes les bonnes librairies
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C’est une double première. Mi-novembre, Chronica sortira le premier roman de son catalogue. Intitulé “L’aîné et la montre en or”, il s’agit aussi du premier roman de son auteur, Philippe Soreil, figure médiatique bien connue.
Combinant intrigue moderne, drame psychologique et relations amoureuses tourmentées, ce premier roman racon te l’histoire d’un jeune homme détruit qui se reconstruit en mieux. Un homme, tombé au plus bas de lui-même, se reconstruit et invente une théorie, convoitéepar de grandes puissances mondiales…Une approche originale et prenante qui a déjà séduit quelques premiers lecteurs. Notamment Boris Cyrulnik, Médecin neuropsychiatre, auteur à succès et personnalité médiatique qui a commenté sa lecture en ces mots : « C’est bien écrit, agréable à lire avec des idées et des enchaînements intéressants ».
L’ouvrage, rédigé par Philippe Soreil, a été inspiré par son ami Philippe Kriwin.
Le pitch :
Franco est irrésistiblement craquant. Fils d’immigrés siciliens il se fait appeler Frank. Comme Frank Sinatra. Il veut chanter. Comme lui. Fasciné par les feux de la rampe, obsédé par les projecteurs sur ses premières gloires, il dévore la vie sans la comprendre.
Sa quête obsessionnelle vers la lumière va l’aveugler. Enchainant les accidents, il se fracasse sur ses excès. Diminué, la rage au corps, il se relève. Chaque fois. Mais sa fureur de vivre l’amènera au bord d’un gouffre dans lequel il finira par tomber ! Disloqué physiquement, détruit moralement, décharné, démoli de toutes parts, il repousse les portes de l’enfer. Les psys tentent de l’aider pour atténuer ses souffrances. Mais Frank ne veux rien entendre. Il remontera seul à la surface de sa vie. Il va réinventer ses mécanismes vitaux et se fabriquer les clés d’une nouvelle existence. En décodant ses propres mystères, physiologiques et psychologiques, il met au point une théorie très surprenante, sur le rapport à l’autre. Lors d’un congrès mondial où il est invite à témoigner, il rencontre Boris, un psy différent des autres, qui deviendra son confident, sa référence, sa « rassurance ». D’introspections en illuminations, d’obstinations en convictions, il va se révéler à lui-même. Détenant désormais les secrets de sa « Montre en Or », de sa propre invention, Frank va être pris en chasse par des puissances insidieuses et se retrouver convoité, projeté dans un monde d’intrigues, avec, au centre de tout, une femme. Irrésistible. Dévorante …
Mais vous pouvez d’ores et déjà soutenir sa sortie en le précommandant sur notre shop en ligne. Vous le recevrez dédicacé par Philippe Soreil avant tout le monde ! Cliquez ici
Philippe Soreil. Philippe Soreil a été successivement journaliste, producteur-présentateur d’émissions et de magazines, réalisateur de films documentaires de long-métrage, avant de s’embarquer, entouré de caméras, dans des aventures qui l’ont mené sur les cinq continents à la rencontre de la nature, de la culture, des animaux et des hommes. L’AîNé et la montre en or est son premier roman.
Philippe Kriwin. Licencié en sciences économiques, Philippe Kriwin a grandi à Bruxelles. Sa vie professionnelle l’a amené à New York puis à Paris où il a vécu des expériences Enrichissantes. Il a été amené à élaborer plusieurs théories qui expliquent sa vision du monde. Son ressenti a largement inspiré ce récit.
Jusqu’ici essentiellement concentrés sur des ouvrages en lien avec le sport ou la musique, nous sommes heureux de vous dévoiler une nouvelle collection. Son nom ? “Un Futur Simple”. Elle a pour vocation de décrypter, via des ouvrages pratiques ou des thèmes spécifiques, les grandes tendances du moment liées au numérique et aux évolutions technologiques.
Via des ouvrages qualitatifs et modernes, “Un Futur Simple” s’adresse à un public curieux, désireux de mieux comprendre les enjeux de demain et les évolutions du monde sous l’impulsion des nouvelles technologies du digital.
Le premier ouvrage de cette collection est écrit par François Remy, journaliste économique (Trends-Tendances, Les affaires, Numerama…): “Comment les banques kidnappent le bitcoin“. Sortie le 15 Octobre dans toutes les bonnes librairies. Mais déjà en précommande.
Voici le pitch du livre “Comment les banques kidnappent le bitcoin“
Les banques, même celles les plus virulentes à l’égard de la monnaie numérique par le passé, expérimentent ainsi des produits et services crypto. Et cela, tout en profitant de l’oreille attentive des gendarmes financiers pour leur inspirer des règles favorables au secteur bancaire.
Il faut dire qu’à cause du scepticisme des banquiers et économistes classiques, le système financier a accumulé un lourd retard face à l’innovation du bitcoin. Cet ingénieux concentré de 40 ans de recherches en réseautique et cryptographie a posé les bases d’un monde alternatif de la finance. Sans autorité centrale, sans intermédiaire,… Autrement dit, sans les banques. La création du bitcoin a donné l’impulsion à une nouvelle industrie mondiale, un nouvel écosystème sans frontière physique, un nouvel univers de la finance décentralisée. Particuliers, entreprises et maintenant même gouvernements (le Salvador étant devenu le premier pays à promouvoir le bitcoin comme monnaie légale à part entière) semblent de plus en plus rallier la cause crypto.
Le système bancaire, pilier des Etats et des économies, ne peut décemment pas se laisser contourner par les flux financiers en monnaies numériques. À chaque évolution ou choc des marchés, les banques sont finalement parvenues à faire de l’argent. Leur grand remplacement inspiré par la blockchain bitcoin n’aura donc pas lieu. Au contraire, treize ans après son invention, le protocole informatique open source de la première cryptomonnaie fonctionnelle de l’histoire a intégré l’esprit des banquiers et s’implémente discrètement dans les canaux de l’industrie bancaire. Certainement pas de façon aussi assumée que pour des technologies moins subversives telles que les apps, les chatbots ou les objets connectés. Pourtant, nous assistons bien au kidnapping du bitcoin par les banques. Il suffit d’observer les concepts émergents de blockchainisation des procédés, tokenisation des produits et cryptoisation des services bancaires. La profondeur de cette transformation digitale reste imprécise pour l’heure, mais la banque préfère évidemment garder les clients dans un environnement qu’elle contrôle plutôt que de les abandonner dans une nouvelle jungle fintech dévoilée par le bitcoin…
Quatre mois après sa sortie et sa promo animée et bien remplie, nous avons décidé de vous proposer un petit flash-back sur la genèse de la BD « Londres 1968 ». Pour cela, quoi de mieux que de donner la parole aux auteurs ? Nous avons interrogé Aurélien Baudinat et Brice Depasse sur la genèse de cette première BD « La Story Nostalgie ». Ils nous plongent dans les coulisses du projet…
Comment un dessinateur français rencontre et commence à travailler avec un animateur radio belge ?
Aurélien : Un jour, une amie commune sur Facebook m’a relayé une annonce de Brice cherchant un dessinateur pour un projet. Je lui ai écrit, il a regardé et apprécié mon travail, et nous nous sommes entendus. Grâce à lui, j’ai d’abord travaillé pour Nostalgie qui cherchait également un illustrateur puis nous avons travaillé sur le livre à distance, moi étant en France et lui en Belgique. Nous nous sommes vus pour la première fois en vrai lors du lancement de notre livre…
Pourquoi vous êtes-vous lancé dans une BD sur l’histoire de Dan Lacksman ?
Brice : L’idée de la série est à la fois de montrer une ville à un moment déterminant de l’histoire de notre Pop Culture mais aussi de prendre un héros anonyme dont le destin est bouleversé par une des grandes figures de la musique. Il était donc tentant de prendre comme premier personnage principal, le Dan Lacksman de 18 ans qui part à la rencontre des Beatles, en vrai, en 1968. Une histoire qu’il m’avait racontée et que j’avais transformée en nouvelle il y a quelques années.
Le projet de base n’était pourtant pas d’évoquer une ville à une période bien précise. Comment en êtes-vous arrivé à “Londres 1968” ?
Aurélien : Initialement, nous devions nous concentrer sur un épisode phare et déclencheur d’un futur succès d’un artiste… et pour ne pas avoir de problème de droits et pour fédérer notre lectorat avec plus de références, nous avons finalement choisi une ville, une année. Plus rassembleur et finalement plus pop.
Brice : Oui, le projet initial était une série thématique sans titre générique si ce n’est une série de prénoms, ceux de légendes de la musique dont nous devions raconter la jeunesse. Le premier tome devait s’intituler Freddie ; la couverture et les premières pages étaient déjà réalisées quand des doutes ont été soulevés sur le risque d’une procédure par les héritiers de Freddie Mercury. Ce fut l’occasion de repenser la série vers quelque chose de plus proche de l’esprit de La Story.
Au final, Londres 1968 ne parle pas directement des Beatles. Pourquoi ce parti-pris ?
Brice : Parce qu’il s’agit surtout de raconter l’impact que ces musiciens ont eu sur les jeunes de l’époque. Nous aimons beaucoup faire revivre les époques, montrer comment cela se passait. Et puis c’est très marrant de faire débuter l’histoire à Bruxelles, une des rares capitales où les Beatles n’ont jamais joué.
Aurélien : Et puis on voulait avant tout raconter l’émergence et le foisonnement créatif d’un lieu, d’une ville en l’occurrence, à une période précise. Pour montrer que beaucoup d’artistes se trouvaient au même endroit au même moment avant d’émerger…
Pourquoi avoir choisi de travailler avec Chronica, un jeune studio d’édition et pas une grande maison classique ?
Brice : parce que c’est un éditeur qui n’arrête pas de travailler une fois le livre arrivé en librairie. Le marketing et les relations publiques c’est au moins aussi important que la réalisation du livre si on veut qu’il rencontre son public.
Aurélien : Pour sa confiance et sa foi à concevoir sans barrière quelque chose de nouveau, en cassant les codes, et pour le dynamisme et la sympathie de son dirigeant.
En quoi le livre “Londres 1968” casse-t-il les codes classiques de la BD selon vous ?
Aurélien : De part ses influences à la fois des comics américains, de la BD franco-belge et du roman graphique.
Brice : C’est la Bande Dessinée d’un conteur radiophonique. C’est Aurélien qui a voulu qu’on entende ma voix. Alors on a mêlé les deux narrations mais sans approche systématique, privilégiant les grandes cases graphiques quand elles le nécessitaient (le cadre psychédélique de la période évoquée le valait bien).
Aurélien, les dessins mélangent à la fois des décors et des personnages très réalistes et des portraits un peu plus naïfs. Pourquoi ce choix ?
Aurélien : Pour rendre plus réaliste ce qui parait inatteignable, plus encore aujourd’hui, à savoir approcher facilement une star, et aussi pour rendre plus enfantin, plus naïf et rêveur le groupe de fans. C’est un parti pris. Je garde aussi une préférence pour la partie plus illustrative mariée aux textes et montage photo. Je vois les dessins narratifs plus comme des notes aussi.
Quels ont été les difficultés d’un projet comme celui-là ?
Brice : Que tout soit authentique. Même s’il y a des éléments de fiction, le corps de l’histoire est vrai. Il fallait donc que tout ce qui y est montré soit raccord avec la réalité de l’époque : la technologie, l’état des bâtiments, les tenues vestimentaires, la chronologie des films à l’affiche et des disques parus. Cela n’a pas empêché Aurélien de donner les traits de gens que nous fréquentons tous les jours aux personnages secondaires ou de fiction.
Aurélien : Pour moi, je dirais, principalement, le démarrage, ce qui est normal, notamment concernant la recherche et la trouvaille du concept. Puis je dirais aussi le timing pour remettre le livre à l’imprimeur, une fois les choses enclenchées avec les différents partenaires, le livre ayant été réalisé (du dessin à la mise en page complète par l’auteur), en un temps record. Un beau challenge pour nous.
Au fond, quel public ce type d’ouvrage cible-t-il ? Les fans des Beatles ? Ceux de Dan Lacksman ?
Brice : Je pense qu’il ne faut pas être un fan des sixties, des Beatles ou de Telex pour apprécier cette BD dont l’histoire est universelle. Que se passe-t-il quand un jeune fan rencontre ses idoles. Garde-t-il de l’or sur les doigts ? Est-il déçu ? Sa vie est-elle transformée ? Et le fait qu’il s’agisse d’un personnage au départ timide qui ose faire ce que personne n’oserait est une belle leçon de vie. Et puis il y a aussi la ville de Londres parmi les personnages, tellement habitée, si bouillonnante de vie, de liberté et de musique.
Aurélien : À mon sens, les fans d’histoires et d’anecdotes nostalgiques avant tout. Tout le monde ne connait pas Dan Lacksman. C’est un fil conducteur qui sert aussi la conclusion de notre histoire, très bien définie par Brice : il faut avant tout toujours croire en ses rêves.
Londres 1968 est disponible en version classique dans toutes les librairies, sur chronica-shop ou sur Amazon. Et en édition limitée à 250 exemplaires sur Chronica-shop.
Pad’R, le dessinateur spécialisé sport et foot de la RTBF et de la DH, annonce la sortie son nouveau recueil annuel aux Editions Chronica. Son titre ? Belle Armada, en clin d’oeil au commentaire de Thomas Meunier durant l’Euro qui avait dérangé quelques commentateurs français à l’esprit chagrin. Aussi, une forme d’hommage à tous les sportifs belges qui ont réalisé d’excellentes performances en 2021 et paticulièrement durant les Jeux olympiques de Tokyo.
Après une année sportive 2020 balayée par le Covid, l’année 2021 aura été placée sous le signe du sport avec, entre autres, l’Euro 2020 et les Jeux olympiques… De quoi alimenter Pad’R qui, une nouvelle fois, s’en est donné à coeur joie pour croquer nos footballeurs et sportifs préférés. D’Eden Hazard à Thibaut Courtois en passant par Nafi Thiam, Vincent Kompany ou Vincent Vanasch… l’humour de Pad’R n’épargne personne…
“Belle Armada” contient 96 pages de dessins hilarants, piquants et émouvants. Ses meilleurs dessins de La Tribune (RTBF), de la DH mais aussi une belle série d’inédits…
Un must have absolu pour les amateurs d’humour et de sport. L’ouvrage est d’ores et déjà en précommande sur notre boutique en ligne.
Par ailleurs, à l’occasion de la sortie de Belle Armada, les Editions Chronica proposent aux admirateurs de Pad’R une offre EXCEPTIONNELLE. Il leur est possible d’obtenir une version personnalisée unique de “Belle Armada” avec leur caricature en couverture du livre ! Un tirage unique et personnalisé. Eh oui : avec le pack VIP de Belle Armada, les amateurs pourront se faire croquer par Pad’R qui les intègrera dans la couverture du livre (dédicacé bien sûr), sur lequel apparaîtra également leur nom, en plus de quelques surprises à l’intérieur de l’ouvrage.
Après avoir intégré les noms de ses lecteurs sur des maillots dans Joyeux Bordel, puis des caricatures dans le tirage commercial de Balles et Masques, Pad’R et les Editions Chronica vont un pas plus loin dans l’innovation avec Belle Armada et son édition personnalisée unique.
Remporter l’or olympique à Tokyo, en compagnie des Red Lions. Voilà ce qui a animé quotidiennement John-John Dohmen, ancien capitaine de l’équipe et meilleur joueur de hockey du monde en 2016. Et c’est chose faite !
Dans Game Day, son autobiographie à paraître en octobre, John-John revient sur son incroyable parcours vers les sommets du hockey mondial, sur son expérience de capitaine, sur les secrets des Red Lions et sur l’évolution du hockey en Belgique… John-John livre également un regard touchant sur ses moments de doute et sur les coups durs qui ont pu parsemer sa carrière: de la maladie rare qui l’a éloigné des Red Lions au délicat équilibre familial à trouver. Des épreuves qu’il a surmontées et qui ne l’ont pas empêché de rester au top dans le sport de haut niveau.
Un témoignage sincère, touchant et particulièrement inspirant pour tous les amateurs de sport et d’excellence.
A 33 ans, John-John qui a voué sa vie à son parcours de sportif, en Belgique et à l’international. Il affiche une carrière impressionnante : plus de 145 goals durant sa carrière nationale, cinq titres de Belgique une victoire en EHL, pas moins de quatre participations aux Jeux olympiques (Pékin, Londres, Rio et Tokyo) dont une médaille d’or et une médaille d’argent. Sans oublier 5 médailles d’or avec les Red Lions lors de compétitions internationales. En 2021, John-John vient de battre un nouveau record : il a joué plus de 400 matchs en équipe nationale. Seuls 5 autres joueurs sont parvenus à un tel record dans toute l’histoire du hockey…! Il faut dire que la montée en puissance de l’équipe nationale, John-John l’a vécue depuis les débuts. Il a en effet intégré l’équipe en 2004, quand « joueur Red Lions » n’était pas encore en « vrai métier »…
Avec Game Day, les Editions Chronica (qui éditent Pad’R, Marcel Javaux, Brice Depasse…) inaugurent « BeChampions » une nouvelle collection consacrée aux parcours des sportifs belges les plus inspirants…
Sortie de « Game Day » fin octobre
Précommande en version dédicacée ou en version pack avec une balle de hockey dédicacée dès maintenant sur www.chronica-shop.be
Le public francophone belge le connaît depuis des années. Il fait d’ailleurs partie de son quotidien depuis plus de 20 ans. Chaque jour, avec sa « Story », Brice Depasse raconte les plus belles histoires de la musique sur les antennes de Nostalgie Belgique, la première radio du pays. Désormais « La Story Nostalgie » se déclinera également en bande dessinée.
En effet, l’animateur radio s’est associé au dessinateur français Aurélien Baudinat, un ancien de chez Walt Disney Company et d’Universal Music, pour mettre en images les histoires étonnantes et le foisonnement dans l’univers de la musique. Et ils ont choisi les Editions Chronica pour porter leur superbe projet.
La BD “La Story Nostalgie – Londres 1968” vous propose un voyage inédit et captivant dans la capitale britannique de la fin des années 1960 et raconte les moments forts de cette période durant laquelle des géants comme Freddie Mercury, David Bowie, John Lennon et les Beatles, préparaient, chacun dans leur coin, des oeuvres déterminantes pour leur carrière et pour la musique mondiale.
Pour réaliser ce voyage, “Londres 1968” suit les traces d’un jeune Belge parti à Londres pour réaliser son rêve: rencontrer les Beatles, groupe mythique dont il est totalement dingue. Ce jeune Belge, pas totalement inconnu puisqu’il s’agit de Dan Lacksman, l’un des membres fondateurs du mythique groupe Telex, vivra des moments inoubliables à faire rêver tous les amateurs de musique.
Basée sur des anecdotes véridiques et inédites, la BD “La Story” conte une tranche de vie étonnante et fidèlement illustrée sur une centaine de pages remplies d’émotion, d’amour et de belles surprises. Y apparaissent même Françoise Hardy ou Michel Polnareff pour ne citer qu’eux…
Cette BD sortira en fin d’année 2021 mais dès à présent, les amoureux de musique et de BD peuvent précommander l’ouvrage, des éditions limitées et des packs exclusifs pour soutenir le projet, via le site de crowdfunding Ulule. En plus de l’édition classique et de l’édition « spéciale » contenant 16 pages supplémentaires, il est aussi possible d’être transformé en personnage et intégré à la BD ou d’assister à une après-midi de « stories » en compagnie de Brice Depasse dans l’un des studios de Nostalgie Belgique !
Envie de profiter de ces opportunités tout en soutenant la BD ? Découvrez les packs sur https://fr.ulule.com/bd-la-story-nostalgie-londres-1968/
Dans Libre arbitre, l’ancien chroniqueur de la RTBF revient sur son parcours incroyable de près de 1.000 matches arbitrés, sur ses plus grandes fiertés mais aussi sur ses profondes déceptions dans le monde du football.
(8 avril 2021). Il a été joueur amateur, puis arbitre pendant 28 ans, et enfin consultant pendant plus de 13 ans sur les antennes de la RTBF aux côtés de Michel Lecomte, Benjamin Deceuninck et toute l’équipe de l’émission La Tribune…
En une vie, Marcel Javaux a embrassé plusieurs carrières, mais toujours avec un seul but : servir le ballon rond. Son franc-parler et ses avis sans concession lui ont parfois joué des tours. Mais Marcel a toujours défendu ses idées et, contre vents et marées, une vision positive du sport et du fair-play. Son parcours étonnant a amené cet Ardennais sur les terrains, de la province du Luxembourg jusqu’à Moscou en passant par les pelouses de D1 belge. Lui permettant de côtoyer les plus grandes personnalités du foot…
Un peu plus de 6 mois après avoir raccroché son costume de chroniqueur à la RTBF, Marcel a décidé de partager les souvenirs de ses 50 ans de football. Accompagné de l’ex-journaliste David De Myttenaere, l’ancien arbitre a choisi les éditions Chronica pour sortir son autobiographie symboliquement intitulée « Libre arbitre »…
Dans cet ouvrage à paraître le 9 juin, Marcel revient sur son parcours incroyable de près de 1000 matches arbitrés, sur ses plus grandes fiertés mais aussi ses profondes déceptions dans le monde du foot. Il en profite pour dévoiler une multitude d’anecdotes étonnantes sur sa vie personnelle, sur les coulisses du monde du foot, de l’arbitrage ou de La Tribune. Il se remémore aussi, avec émotion, le difficile combat que son épouse et lui ont mené contre la Covid-19.
Un témoignage émouvant, sincère et sans langue de bois. Du Marcel tout craché !
Libre Abritre
Marcel Javaux & David De Myttenaere
Sortie partout le 9 juin 2021